Sigmund Freud sur les femmes vieillissantes
« On sait — ce qui a donné aux gens ample matière à se plaindre — que les femmes, après avoir abandonné leurs fonctions génitales, modifient fréquemment leur caractère d’une façon particulière. Elles deviennent querelleuses, tracassières et ergoteuses, mesquines et avares, faisant donc montre de traits typiquement sadiques et érotiques-anaux qui ne leur étaient pas propres auparavant, à l’époque de leur féminité. Auteurs de comédie et satiristes ont de tout temps pris pour cible de leurs invectives le “vieux dragon” qu’est devenue la douce jeune fille, l’épouse aimante, la tendre mère. Nous comprenons que cette transformation du caractère correspond à la régression de la vie sexuelle au stade prégénital sadico-érotique-anal »
(Die Disposition zur Zwangsneurose (1913), Gesammelte Werke, VIII, p. 450 ; Trad., Œuvres complètes, PUF, XII, p. 92)
Pauvre papi Sigmund, il devait l’avoir bien petit et peu fiable son engin à libido… Il devait préférer les étoiles de mer. La grande Dalida l’avait bien compris dans cette allégorie fort bien vue https://www.youtube.com/watch?v=DM9giB75TkM